Cas pratique: travail sur un blocage inconscient rendant impossible la prise de décision
Chaque cas est unique.
Toutefois, je retrouve souvent certaines similitudes, liées à des chemins de vie qui se croisent dans la manière dont ils sont empruntés.
Des histoires qui ont un socle commun: une enfance mouvementée, un conjoint déstabilisant, voire étouffant.
Ou encore un environnement professionnel éreintant.
A un moment donné, toutes ces situations épuisent l’organisme.
Malmenée par un cerveau sans cesse en ébullition, taisant ses pensées, n’avouant des émotions que les signes d’une colère rentrée, d’un déni, d’une angoisse sans nom ou encore d’une infinie tristesse, vous continuez d’exister, de vivre une vie d’emprunt dans le plus complet brouillard.
C’est à ce moment précis que j’interviens, celui où vous prenez la décision que les choses doivent changer.
Vous ne parvenez plus à trouver l’énergie nécessaire à résister alors que ballottée de droite à gauche comme un fétu de paille.
Vous allez au gré des autres.
Et vous êtes paumée.
Vous avez besoin que quelqu’un vous prenne la main et vous guide vers la lumière.
En douceur.
Avec d’infinies précautions, vous êtes si fragile!
Créer la rencontre avec votre moi profond demande de respecter toutes ces choses qui vous rendent unique, votre pudeur, vos hésitations, vos peurs. Vos craintes de vous confier: et si vous alliez être jugée?
Et si…
Et si vous partiez à la rencontre de Sandrine, avec moi, là sur cette page?
Et si vous viviez avec moi la séance?
Contexte de la séance
Je reçois Sandrine, une femme de 50 ans qui semble avoir tout pour être heureuse.
Elle aime son métier (elle travaille à son compte en tant que coiffeuse), elle a deux filles, majeures.
Elle semble épanouie dans sa vie sociale.
Pour autant, elle ne parvient pas à se défaire d’un stress et d’une angoisse permanente.
Elle ne parvient pas vraiment à mettre des mots sur ce qu’elle ressent.
Elle m’explique qu’elle se sent éteinte et n’arrive pas à avancer au niveau professionnel.
Elle a l’impression de s’enliser dans une situation qui pèse.
Elle ne maîtrise rien de ce qu’elle vit, la souffrance morale se double de douleurs physiques.
Mon rôle dans un premier temps:
- comprendre quelle est la part de blessures qu’elle a enfouies en elle « responsables » de son état ;
- les amener en pleine conscience, de manière à lui permettre de les verbaliser ;
- identifier par un bilan énergétique les points de blocage physique pour lever les nœuds entravant la circulation des fluides vitaux. L’objectif est de refaire circuler l’énergie du corps pour ancrer la personne dans son être global. Cela ouvre un nouveau champ de possibles pour accéder au bien-être ». Cela permet une stabilisation émotionnelle et renforce les enveloppes protectrices.
Pourquoi amener à verbaliser?
Les « dysfonctionnements » que constituent les douleurs physiques et la souffrance morale peuvent être la conséquence de traumatismes, d’émotions non exprimées, non gérées ou mal. L’être humain peut également être en proie à des schémas de pensées, de croyances qui faussent sa compréhension de ce qui l’entoure et l’amène à adopter des comportements qui ne sont pas adaptés. Son parcours de vie peut être la résultante d’incompréhensions ou de mauvaises interprétations de situations passées.
Mon rôle dans un second temps
Je me concentre sur les éléments nécessaires à lui permettre de remettre « à flot » ses taux d’estime, de volonté, d’acceptation aux changements, et de lever un taux de négativité à 65%, ce qui explique le mal-être.
J’interroge Sandrine et interprète ses réponses avec les outils d’accompagnement au bien-être dont je dispose.
D’après les premières informations que je recueille, Sandrine ne parvient pas à se défaire d’une enfance traumatisante, avec un père violent et alcoolique.
Pour autant, j’ai l’intuition que cela n’est pas la seule explication à son état actuel. Je ne pourrai toutefois pas approfondir au-delà de ce qu’elle exprime à ce moment-là. Au fil de la séance, je comprends qu’elle est sous l’emprise de son mari dont le comportement est proche de celui du pervers narcissique.
J’interviens dès le départ avec une praticienne énergétique comme moi et nous parvenons à travailler sur plus de 200 points (méridiens, système hormonal, immunodépressif, rééquilibrage du féminin/masculin, thyroïde, pancréas, etc.. ). Nous constatons toutes deux que la dimension énergétique du cœur est peu ouverte.
Le bienfait est immédiat, Sandrine ressent un apaisement, une libération.
Je peux dès lors intervenir sur ce qui la paralyse pour prendre les décisions que sa situation maritale lui impose en remontant son taux d’estime, en lui redonnant la confiance en elle dont elle a besoin, en la libérant de ses croyances limitantes pour accepter le changement.
Elle est plus sereine, et se sent transformée.
Et pendant plusieurs mois, tout va bien pour elle.
Ses clientes se rendent compte du changement.
Malheureusement, au bout de quelques mois, son état se dégrade à nouveau.
Une autre séance est nécessaire
Je ne comprends pas et m’interroge sur ce qu’elle vit.
Je décide de recourir à une séance de Thérapie Intuitive® pour accéder à son champ informationnel et comprendre pourquoi ses douleurs se sont intensifiées au niveau des mains et des pieds.
Au cours de cette séance émergent de nouvelles informations, qui expliquent les raisons de ces douleurs physiques. L’outil que j’utilise est un formidable levier pour aller rapidement mieux, en permettant de libérer de l’inconscient des points de blocage. Le message est parfaitement conscientisé, il peut être verbalisé pour amener à prendre les bonnes décisions, tout en retrouvant l’énergie pour le faire.
Ce qui a été mis en évidence
Sandrine était victime depuis des années d’un mari dont le profil psychologique s’apparentait à celui d’un pervers narcissique. Dès lors, elle subissait le cycle infernal des mensonges, une dévalorisation permanente cachée sous d’apparents compliments.
La notion de recherche de bonheur était presque devenue un sujet tabou, celui-ci étant associé aux projections de son mari durant toutes ces années. Elle adoptait une attitude de « soumission », d’absence de désir propre, persuadée qu’elle ne savait pas ce qui était bon pour elle, prisonnière des schémas d’une enfance difficile.
Elle ne parvenait pas à être sereine, ni à se défaire du cercle infernal de la dévalorisation et de la culpabilisation. Aller mieux pour elle supposait de demander le divorce, une décision qu’elle ne pouvait pas prendre par rapport à ses filles. Elle continuait de vivre dans l’épreuve de la « présence » psychologique de leur père, sans pouvoir couper les ponts. Elle était donc pieds et poings liés, sans parvenir à déterminer pourquoi, puisque physiquement son mari n’était plus auprès d’elle.
Ce que mon accompagnement a changé pour Sandrine
La séance lui a permis de se libérer de ses entraves émotionnelles (peur, anxiété, appréhension d’une décision jusqu’à nier sa nécessité…)
Grâce à mon accompagnement, Sandrine a pu trouver en elle la force de se libérer de l’étreinte de son tortionnaire et sortir de cette relation toxique.
Elle a pris conscience de sa valeur et a retrouvé la confiance en elle nécessaire à s’affirmer, à oser être elle-même.
Elle sait désormais poser des limites, définir ce qui est bon pour elle, ce qui est aligné avec son identité.
